Rosny insoumis
|
Le 22 mars, une date pour faire de l’école et de l’éducation de nos enfants une priorité absolue !
dimanche 1er mars 2015, par
Rosny-insoumis-gC
|
Prendre soin de nos enfants et des jeunes générations, préparer leur avenir et leur ouvrir en grand les portes d’une société meilleure – ici et maintenant dans notre canton dans notre département – tel est le coeur de nos engagements, de nos mobilisations et de notre projet.
Nous savons les uns et les autres que la société actuelle n’assure plus un avenir meilleur aux jeunes, y compris à ceux qui s’y emploient sans compter. Elle laisse petit à petit s’installer une sorte de nouvelle loi de la jungle où seuls les mieux lotis peuvent s’en sortir.
En tant que parents, vous sentez et vous savez dans ces conditions que notre société est moins justifiée à demander aux jeunes comme aux adultes d’accepter les règles et les devoirs communs d’aujourd’hui. Seule une société qui respecte l’avenir mérite le respect des citoyens qui la composent. C’est le socle même de notre vie commune et de notre civilisation.
Beaucoup d’élèves souffrent trop souvent, et plus qu’ailleurs dans notre région, des inégalités, des discriminations et des injustices qui handicapent leur avenir.
Pour notre part, nous entendons corriger ces inégalités pour le bénéfice de chaque enfant et pour le bénéfice de tous.
Nous considérons que les enfants de nos villes et de notre département ont droit au meilleur en matière d’éducation.
Une école de la réussite pour toutes et pour tous NOUS Y AVONS TOUS DROIT, ici autant qu’ailleurs. Nos enfants ont droit à l’excellence et au « plus » qui doit permettre de rattraper des années de retard.
Avec : Riva Gherchanoc (Fonctionnaire), Jean-Pierre Mercadal (Cadre), Florian Vigneron (Juriste), Dominique Attia (Secrétaire), Sophie Alexandre (Responsable associative), Baptiste Perreau (Chef d’entreprise), Alexie Lorca (Cadre territoriale) et Bélaïde Bedreddine (Formateur) ..
L’école de l’austérité, c’est l’école de l’échec. Nous n’en voulons pas pour les enfants de Montreuil, ni pour ceux de Rosny, ni pour tous ceux de la Seine Saint-Denis.
Pour cela, les élections départementales du 22 mars prochain revêtent une grande importance. Ces élections désigneront les élus qui décideront en premier lieu et pour une bonne partie des conditions d’éducation de vos enfants.
Le département s’occupe des collèges, il gère 55 crèches, 25 circonscriptions d’aide sociale à l’enfance et dispose d’un réseau unique de 117 centres de Protection maternelle infantile (PMI).
En coordination avec la municipalité il intervient sur toute la chaîne des actions de soin et d’éducation des enfants. Vous le savez, les conseillers généraux communistes et Front de gauche se sont mobilisés depuis que le conseil général existe pour que ces services soient créés, qu’ils se développent et se maintiennent. Ils sont aujourd’hui lourdement menacés.
Le 22 mars, votre vote peut avoir des conséquences positives pour l’avenir de vos enfants. Si les candidats de l’austérité, ceux de la droite et de l’extrême droite emportent ces élections, ce qui a été fait par des élus du Front de Gauche pour les jeunes générations
sera remis en cause.
Pour empêcher cela, vous pouvez voter pour des candidats partageant exactement les mêmes objectifs et les mêmes ambitions pour l’avenir des enfants que votre maire. Ensemble, ils travailleront au sein de l’assemblée départementale main dans la main avec la municipalité pour mieux coller aux besoins concrets des enfants, comme l’ont fait les élus Front de Gauche de nos cantons Belaïde Bedreddine et Jean-Charles Nègre. C’est pour vous une garantie d’efficacité.
Le 22 mars, votez pour des candidats décidés à ne pas laisser les politiques d’austérité du gouvernement, de la droite ou de l’extrême droite prendre le pas sur une politique ambitieuse pour les enfants et les jeunes. Nous savons que l’école en France est une des plus inégalitaires d’Europe (enquête OCDE dans le cadre de son Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA)).
La situation se dégrade dans nos établissements. Il est urgent de passer ensemble à l’offensive pour inverser cette situation insupportable.
Nos enfants ne méritent pas un tel sort qui compromet leur avenir.
Avec : Riva Gherchanoc (Fonctionnaire), Jean-Pierre Mercadal (Cadre), Florian Vigneron (Juriste), Dominique Attia (Secrétaire), Sophie Alexandre (Responsable associative), Baptiste Perreau (Chef d’entreprise), Alexie Lorca (Cadre territoriale) et Bélaïde Bedreddine (Formateur) ..